Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Le journal national conservateur italien Libero s’est joint à la campagne internationale de soutien à la sœur Zou Demei, une dirigeante régionale de l’Église de Dieu Tout-Puissant, un nouveau mouvement religieux chrétien chinois. Sœur Zou est recherchée en Chine en tant que dirigeante
La Fondation Lantos pour les Droits de l’homme et la Justice, l’une des organisations non gouvernementales américaines les plus importantes dans le domaine des Droits de l’homme et de la Liberté religieuse, a ajouté le 5 juillet sa signature à la lettre ouverte envoyée au président Donald Trump
Les représentants chinois ont nié l’existence des camps de rééducation et ont refusé d’accepter les inspections de la part de pays étrangers, ce qui renforce les inquiétudes en ce qui concerne les droits de l’homme en Chine, comme le rapporte le quotidien canadien The Globe and Mail
Neuf organisations de premier plan engagées dans la défense des droits de l’Homme et des libertés religieuses ont envoyé une lettre au président des États-Unis, Donald Trump afin de lui demander d’intervenir dans le cas de Demei Zou, dirigeante du nouveau mouvement religieux chrétien
Au début du XVIIe siècle, l’une des plus importantes controverses de l’histoire du christianisme chinois a vu le jour au sein de l’Église catholique et ses conséquences se font toujours sentir aujourd’hui. Les missionnaires jésuites ont proposé un nouveau type d’évangélisation en Chine. Ils ont affirmé que
Neuf organisations non gouvernementales lancent un appel au président des États-Unis, Donald Trump, afin de lui demander d’intervenir dans le cas de Demei Zou, une demandeuse d’asile issue d’un nouveau mouvement religieux, l’Église de Dieu Tout-Puissant, qui est détenue à Detroit
Une dirigeante de l’Église de Dieu Tout-Puissant est menacée d’être expulsée en Chine, où elle encourt la peine de mort. Il pourrait s’agir de l’article le plus important publié par Bitter Winter à ce jour. Il s’agit, littéralement, d’une question de vie ou de mort. Il s’intéresse au cas d’une demandeuse d’asile
La police du Parti Communiste chinois (PCC) a arrêté la quasi-totalité des hommes musulmans de plus de trente ans d’un village du Xinjiang et les a envoyés dans des « camps de transformation par l’éducation », un immense réseau de camps destinés à la minorité ethnique indigène ouïghoure, qui ont été institués
Les autorités locales ont mobilisé plus d’une centaine d’agents afin de démolir un lieu de culte récent de l’Église des Trois-Autonomies dans l’agglomération de Xingcun (ville de Wuyishan, dans la province du Fujian). Il s’agissait de la première église de la ville, bâtie grâce aux dons de chrétiens de la région en 2016.
Des membres du Parlement européen, d’ONG et d’institutions internationales ont exprimé un grand intérêt pour le premier Sommet de la Foi et de la Liberté organisé par l’Alliance des conservateurs et réformistes européens, le troisième plus grand groupe politique européen, à la bibliothèque Solvay de Bruxelles
Quarante lieux de réunion de l’Église des Trois-Autonomies – l’Église protestante unie contrôlée par le gouvernement – dans la ville de Guayintang (province du Henan) ont été contraints de fermer leurs portes en l’espace de quelques mois depuis l’entrée en vigueur du nouveau Règlement relatif aux Affaires religieuses
Depuis le début de l’année 2018, les autorités chinoises mettent en œuvre le soi-disant programme de « résidence à domicile » dans la province du Xinjiang. Plus d’un million de cadres du Parti Communiste, de fonctionnaires et d’employés d’organisations gérées par le gouvernement sont envoyés à résidence chez des familles
