Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Les croyants du Shandong ont subi des années de répression à cause de leurs convictions religieuses. Après avoir déplacé leur site de rassemblement à plusieurs reprises, ils sont confrontés à une fermeture définitive dans un avenir proche.
L’Église de Dieu Tout-Puissant a pris la place du Falun Gong en tant que cible principale de la persécution religieuse qui a cours en Chine. Nous présentons ci-après les informations essentielles sur la nature de cette Église et la raison de sa persécution.
Le couple a ensuite été placé dans un camp de « transformation par l’éducation » par les autorités du Xinjiang.
Les autorités ont engagé plus de cent hommes pour démolir une église protestante des Trois-Autonomies contrôlée par le gouvernement dans la ville de Shenyang ; environ quatre-vingts d’entre eux étaient vêtus de noir et cagoulés.
En plus d’être une crise des droits de l’homme, cette situation a également désagrégé des ménages, et plusieurs personnes ont perdu leur gagne-pain.
Des membres d’une église de la province du Shandong ont quitté leur domicile pour échapper à leur arrestation, mais ont été retrouvés car les autorités ont utilisé une technologie de localisation en ligne pour repérer le couple.
Depuis deux décennies, il fait l’objet de persécutions de la part des autorités en raison de sa foi.
Les autorités surveillent une application de partage de fichiers et la ligne téléphonique de quiconque l’utilise est suspendue automatiquement.
Une fidèle de la Life Church dans le Xinjiang a été torturée pendant 24 heures après avoir été arrêtée pour avoir accueilli une réunion d’église.
Un membre du mouvement Né de nouveau originaire de la province de l’Anhui est en proie à une persécution permanente en raison de sa foi.
Le fondateur d’un site Web sur les droits de l’homme en Chine, Huang Qi, est en détention et en phase terminale. Sa mère a fait appel au soutien de la communauté internationale.
Plus de vingt écoles créées par des missionnaires chinois dans l’État de Wa au Myanmar ont été fermées et de nombreux membres du personnel ont été arrêtés puis remis aux autorités chinoises.
