Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Une prédicatrice d’une église de maison a été arrêtée après qu’elle a posté sur un groupe WeChat des séquences vidéos montrant la persécution du gouvernement à l’égard de la religion. En conséquence, son église a été fermée de force.
Dans le cadre de sa puissante politique de « maintien de la stabilité », le Parti communiste chinois (PCC) continue de priver le peuple chinois de sa liberté d’expression.
Un temple de la province du Fujian a été réduit en poussière parce que les autorités locales avaient l’intention d’utiliser ses terres pour un projet immobilier avec des sociétés privées.
Certaines universités de la province du Henan ont inclus l’évaluation des connaissances antireligieuses parmi les exigences nécessaires à l’obtention du diplôme et intensifient la promotion de l’athéisme auprès des étudiants nouvellement inscrits.
Deux églises protestantes de la province du Henan ont récemment été démolies sans aucune raison valable après une période de harcèlement.
Les autorités de la ville de Nanyang ont perquisitionné et fermé un lieu de rassemblement de l’Église de maison Great Praise en raison du refus de son responsable de rejoindre l’église protestante des Trois-Autonomies contrôlée par le gouvernement.
L’interdiction par le PCC de Winnie l’ourson, en vigueur depuis que le personnage a été comparé au président Xi Jinping en 2013, atteint de nouveaux sommets
La police a torturé neuf collaborateurs d’une église de maison dans la province de Hainan, provoquant ainsi des blessures internes chez la plupart d’entre eux.
Une fidèle de l’Église de Dieu Tout-Puissant est décédée en détention peu de temps après son arrestation. En raison des nombreuses lésions que présentait son corps, sa famille estime que son décès est dû à des sévices infligés par la police.
Depuis le lancement d’un programme national de supervision pour inspecter la mise en œuvre des politiques religieuses de Xi Jinping dans les provinces et municipalités chinoises, les croyants de tout le pays sont confrontés à une répression encore plus intense de leurs libertés religieuses.
Un Bureau local des affaires religieuses de la province du Hubei a convié des bouddhistes locaux à une réunion au sujet de la version révisée de la Réglementation sur les affaires religieuses. Ils étaient non seulement tenus de payer des frais de participation, mais devaient également acheter les drapeaux nationaux et des extincteurs.
Une arche commémorative située sur l’une des quatre montagnes sacrées du bouddhisme chinois a été démolie de force et le président de l’Association bouddhiste du mont Jiuhua a été placé en résidence surveillée.
