Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Notre directeur délégué est honoré pour sa contribution à la liberté religieuse, dans le cadre d’une journée de manifestations dédiée à la dénonciation des persécutions et à la promotion de la liberté religieuse.
Un document récemment publié appelle à la fermeture, à la reconversion et à la surveillance stricte des lieux de culte, sous la responsabilité personnelle des autorités locales concernées.
En prévision du 70e anniversaire de la Marine de l’Armée populaire de libération, les autorités ont renforcé les mesures de surveillance à l’encontre des minorités ethniques et des croyants.
La destruction des statues peine non seulement les croyants, mais nuit également à l’économie locale en raison de la diminution du nombre de visiteurs.
Depuis le début du mois d’avril, les autorités mènent une campagne de répression généralisée et organisée contre l’Église de Dieu Tout-Puissant dans la province, visant à éradiquer l’Église.
Un rapport du Bureau municipal des Affaires ethniques et religieuses décrit dans les détails les résultats obtenus consécutivement à la répression des croyants et présente de nouvelles mesures de répression encore plus rigoureuses.
Depuis que le contrôle des croyants est devenu l’une des principales missions des autorités locales, leur travail est suivi et évalué de près.
Les jeunes Chinois étudient les discours et les politiques partisanes du président, de la maternelle à l’université, afin de devenir la nouvelle génération de fidèles socialistes.
Tout ce qui est en lien avec l’islam doit disparaître : de nouveaux témoignages sur la minorité musulmane chinoise progressivement privée de toute identité religieuse et culturelle.
Après la transformation d’un ancien temple en un centre d’activités, les croyants continuent leurs pratiques religieuses en secret, sans avoir les statues des divinités à portée de vue.
Le cas stupéfiant de Dr Gulshan Abbas, une femme professionnelle, innocente et détenue, nous est raconté en exclusivité par sa fille. Quand ce martyre prendra-t-il fin ?
Motivées par un dignitaire du gouvernement central en visite, les autorités locales du Henan portent la « mission religieuse » au niveau supérieur. Tout pour plaire au Parti.
