D’après la terminologie du sociologue Fenggang Yang, le segment religieux chinois comprenant les cinq associations —bouddhiste, taoïste, musulmane, protestante (l’Église des Trois-Autonomies) et catholique (l’Association Patriotique des Catholiques Chinois)—agréées par le PCC qui nomme leurs dirigeants afin de les permettre de fonctionner dans la légalité, bien qu’avec des restrictions.
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Le marché rouge : les religions « officielles » en Chine