Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Le 5 octobre 2018, des soldats à la retraite en provenance de toute la Chine se sont réunis dans le Shandong pour exprimer leurs revendications, mais ils ont été réprimés par le même État pour lequel ils ont sacrifié leur vie.
Le PCC a interdit l’expédition de masques, de casques, de parapluies et d’autres articles « sensibles » depuis la Chine continentale vers Hong Kong et d’autres régions voisines.
Partout dans la province, des opérations d’arrestation ont été mises en œuvre depuis le printemps. Nouvelles informations sur la planification et la mise en œuvre de cette répression et sur ses victimes.
Le PCC intensifie les mesures de surveillance déjà strictes des lieux de culte en y affectant des fonctionnaires pour contrôler les croyants et garantir leur loyauté envers la ligne du Parti.
Afin d’empêcher tout contenu antigouvernemental d’apparaître publiquement, le PCC adopte des mesures visant à contrôler le contenu des panneaux d’affichage commandés par ordinateur.
Après l’arrestation d’une chrétienne âgée pour son engagement au sein de l’Église de Dieu Tout-Puissant, le PCC a exclu ses petits-enfants de l’université et sa famille a rompu tout lien avec elle.
Le 21 avril, c’était Pâques. Le PCC a « célébré » la journée en harcelant les catholiques dissidents, les protestants des églises de maison, et même les fidèles de l’Église des Trois-Autonomies contrôlée par le gouvernement.
Depuis le début du mois d’avril, les autorités mènent une campagne de répression généralisée et organisée contre l’Église de Dieu Tout-Puissant dans la province, visant à éradiquer l’Église.
Craignant de se faire arrêter, des membres de l’Église de Dieu Tout-Puissant (EDTP) vivent dans la clandestinité depuis des années, sans possibilité de rentrer chez eux.
