Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Une autre église protestante du Henan, approuvée par le gouvernement, a été victime de la persécution menée par les autorités contre la religion. En à peine plus de dix minutes, elle a été réduite à néant.
Un document confidentiel découvert récemment décrit la campagne de répression menée en 2018 dans une ville du Jiangsu contre l’Église de Dieu Tout-Puissant, un mouvement chrétien persécuté.
Les autorités chinoises confisquent les passeports des citoyens et veillent à ce que seuls les individus « politiquement irréprochables » et les patriotes soient autorisés à sortir du pays.
La répression des autorités chinoises contre les lieux et les symboles bouddhistes s’intensifie. Les sites historiques et culturels protégés ne sont pas épargnés
Dans une lettre envoyée à Bitter Winter, un Kazakh originaire du Xinjiang raconte la persécution, l’humiliation, et la torture dont les prisonniers font l’objet.
Des symboles liés à l’islam continuent d’être retirés ou recouverts dans les provinces chinoises qui comptent une population musulmane hui relativement conséquente.
Le 11 avril, les autorités ont ordonné qu’une mosquée récemment construite dans un village de la province du Gansu soit démolie de force, puis ont arrêté les personnes qui avaient diffusé cette information.
Le ministre des Affaires étrangères chinois convoque une conférence de presse à Pékin pour prévenir l’Australie qu’elle ne doit pas accueillir des groupes que le PCC a déclarés « hérétiques ».
Accompagnés de dizaines de millions de membres du Parti et d’agents de l’État, les croyants de l’Église des Trois-Autonomies sont contraints d’utiliser l’application mobile « Étudier Xi, rendre le pays plus fort »
Des citoyens kazakhs se rendent en Chine pour rendre visite à leurs proches, en prévoyant de rentrer chez eux après quelques jours. Certains ne reviennent jamais. Dans une vidéo, l’avocate Umarova demande de l’aide.
Bitter Winter lance une campagne de dons pour survivre et prospérer : nous avons besoin de votre aide, maintenant.
Des professeurs d’université licenciés à cause de leurs commentaires et une surveillance accrue des étudiants tandis que les autorités chinoises continuent de réprimer l’opposition et la libre expression.
