Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Le 2 septembre 2018, une étudiante universitaire de la province du Henan a été arrêtée à l’aéroport de Shanghai Pudong, elle se préparait à prendre un vol pour la Corée du Sud où elle étudie.
Le Département du travail du Front uni du comté de Yichuan a fouillé une église et confisqué du matériel religieux qui a été détruit par la suite.
Les gardes du centre de détention de la ville de Jiujiang ont soumis, des jours durant, une fidèle de l’Église de Dieu Tout-Puissant à de graves tortures et de profondes humiliations.
Les autorités de Shanghai ont, à plusieurs reprises, pris pour cible une église établie par un citoyen philippin, cherchant à la démolir.
Il n’est pas rare que les autorités chinoises utilisent des voyous locaux pour exécuter tous leurs ordres. À l’occasion d’une de ces opérations à Jiangxi, une femme a perdu la vie.
Une femme de Fujian a été arrêtée et a subi de graves traumatismes mentaux et physiques après avoir été torturée pour obtenir des informations sur son Église.
Six prédicateurs se sont rendus dans le Xinjiang et ont été arrêtés par la police. Ils ont également subi des tortures physiques violentes en détention.
Han Jingtao est âgé de 97 ans, un prêtre de l’église dont les évêques sont nommés par le Vatican, il a subi pendant plus de 60 ans une oppression violente de la part du PCC.
Les coups montés sont organisés par les autorités pour piéger une personne et donner d’elle une image suffisamment mauvaise pour justifier sa déportation.
Le PCC met en œuvre sa politique de « sinisation » en interdisant aux chrétiens d’adhérer aux églises de maison.
Les autorités du Xinjiang procèdent à un contrôle rigoureux des Chinois qui voyagent à l’étranger ; même leurs passeports sont confisqués et révoqués.
Un musulman du Xinjiang est détenu dans un « camp de transformation par l’éducation » et son entreprise a été forcée de fermer boutique en son absence, sous le poids d’une dette de 500 000 RMB (environ 73 000 USD).
