Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Les camps de travail forcé ont été fermés, mais le Parti communiste chinois (PCC) a créé des services correctionnels communautaires à leur place, ce qui restreint davantage la liberté.
Les autorités ont détruit une église contrôlée par l’État dans la ville de Chenji il y a deux ans et n’ont pas permis sa reconstruction jusqu’à présent.
Les autorités locales du comté de Manas, au Xinjiang, ont arrêté quatre personnes après qu’un villageois a indiqué l’endroit d’un membre de la famille d’un dirigeant de l’Église.
Une fidèle de l’Église de Dieu Tout-Puissant a été arrêtée à l’aéroport de Shanghai à son retour du Japon.
Bitter Winter a appris qu’un chrétien d’une église de maison, Qiao Gang (pseudonyme), de Shangqiu dans le Henan, a été convoqué au poste de police le 4 mai 2018, et n’a plus donné signe de vie depuis lors
Des missionnaires japonais et sud-coréens ont été expulsés de Chine le 17 mai et se sont vus interdire l’entrée dans le pays pendant cinq ans. Avant leur expulsion, ils ont été maintenus en détention pendant quinze jours.
En fuite depuis plus de dix ans, le prédicateur Shi Yuliang, originaire de la province du Zhejiang, est incapable de rentrer chez lui. Sa famille est constamment harcelée par la police.
Les interviews de Bitter Winter révèlent des cas d’arrestations et de persécutions contre des associations religieuses, même mineures.
Deux sœurs, membres d’une église de maison de la ville de Liaocheng, à Shandong, sont cruellement persécutées par les autorités communistes chinoises depuis 2008.
Quatre collaborateurs d’une Église dans le comté de Bin de la ville de Harbin ont été arrêtés par la police lors d’une réunion de l’Église ; ils ont par la suite été condamnés à de longues peines de prison.
On en sait maintenant un peu plus au sujet des 71 chrétiens arrêtés dans la ville de Shangqin, province du Henan.
Liaoning : les autorités ont procédé à une série d’arrestations, planifiée et dirigée contre les chrétiens.
