Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
La guerre menée par le PCC contre les statues religieuses monumentales se poursuit dans tout le pays. Voici les dernières victimes dans les provinces du Hebei, du Shandong, du Shanxi et du Zhejiang.
Des membres de l’Église de Dieu Tout-Puissant se souviennent de leurs expériences en détention où ils ont été torturés et forcés de prendre des substances psycho-actives.
Le PCC scelle des temples bouddhistes et taoïstes dans tout le pays et empêche même les cendres des défunts de reposer en paix.
Les compromis que les églises des Trois-Autonomies ont réalisés avec le gouvernement chinois n’ont pas servi à instaurer la paix. Au contraire, ils n’ont servi qu’à intensifier la persécution.
Des gens qui ne sont même pas membres de groupes religieux interdits peuvent être persécutés simplement parce que leurs proches sont croyants ou suite à des événements fortuits.
Après l’arrestation d’une chrétienne âgée pour son engagement au sein de l’Église de Dieu Tout-Puissant, le PCC a exclu ses petits-enfants de l’université et sa famille a rompu tout lien avec elle.
Des membres de l’Église de Dieu Tout-Puissant continuent d’être surveillés et persécutés après leur libération. Ils se retrouvent ainsi privés de tous leurs droits et de leur liberté.
Une église de maison a créé une école il y a dix ans dans la ville de Zhengzhou, au Henan, afin que les enfants puissent recevoir une éducation religieuse. Depuis, elle fait l’objet de persécutions.
Les autorités de la province du Hubei intensifient leur répression du bouddhisme, détruisant des temples sous de faux prétextes et laissant les propriétaires âgés sans moyen de survie.
Un célèbre restaurant végétarien qui promeut les enseignements des maîtres bouddhistes dans le Fujian a été contraint de modifier son enseigne et s’est vu confisquer ses livres et ses vidéos.
Dans les provinces de Liaoning et de Jilin, dans le nord-est du pays, le PCC intensifie sa campagne contre les symboles religieux géants en plein air.
Les chants révolutionnaires et l’opéra traditionnel chinois remplacent les prières et les hymnes après que les autorités se sont emparées de force des églises approuvées par le gouvernement.
