Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Un membre de l’Église de Dieu Tout-Puissant souffrant d’hypertension artérielle n’a pas été autorisé à prendre ses médicaments en détention. Cette privation a entraîné la détérioration de son état de santé.
Une fidèle de l’Église de Dieu Tout-Puissant a été battue en détention et obligée d’identifier ses coreligionnaires.
Après avoir placé sous surveillance le mouvement China Gospel Fellowship, la police a fait une descente alors que tous les pasteurs s’étaient retrouvés au même endroit. L’un d’eux a eu une crise cardiaque ; tous ont été menacés de signer une déclaration de « repentance ».
Les autorités chinoises ont élevé la question des religions au niveau des conflits politiques entre les nations, et les religieux font l’objet d’enquêtes rigoureuses pour espionnage.
Une forte couverture médiatique et deux pétitions exigeant leur libération : c’est l’occasion de partager avec le public quelques informations relatives à leur capture, leur détention et leur situation actuelle.
Les autorités ont renforcé le contrôle des activités sur Internet, réprimant et punissant au passage les personnes qui tiennent des propos critiques, même implicitement, à l’égard du PCC.
Aujourd’hui retraité, l’évêque catholique chinois clandestin de 85 ans a été harcelé pendant des années à cause du Parti communiste.
Luo Yao, prédicateur d’une église de maison, a été emprisonné après avoir publié un message sur les réseaux sociaux dans lequel il appelait à prier pour le pasteur Wang Yi qui a été arrêté.
Les arrestations répétées de croyants de l’Early Rain Covenant Church se poursuivent. Les détails du passage à tabac d’une fidèle illustrent l’ampleur de l’injustice.
Le gouvernement chinois s’en prend à nouveau violemment à l’Église de Dieu Tout-Puissant. Près de 50 nouveaux cas enregistrés viennent s’ajouter au nombre croissant d’arrestations de ses membres.
Dans la continuité de l’ambiance qui règne dans le nord-est de la Chine, des croyants ont été arrêtés et contraints de signer des engagements antireligieux, du fait d’avoir osé tenir un rassemblement au domicile d’un confrère.
Le gouvernement chinois est tellement intimidé par cette pratique spirituelle axée sur la méditation et l’activité physique qu’il torture ses adeptes.
