Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Statues bouddhistes détruites, bouddhistes chassés, temples bouddhistes fermés ou rasés. En Chine, la guerre contre le bouddhisme continue de faire rage.
Les autorités du Hebei ont utilisé des explosifs pour détruire la statue de « Guanyin qui ruisselle » alors que le PCC continue de réprimer sans relâche les statues religieuses géantes.
Les autorités locales du Yunnan ont eu recours à la ruse pour démolir illégalement un temple.
Les autorités ont démoli un temple bouddhiste bien connu à Xutang, un village de la province en 2013.
Les religions « officielles » ou « contrôlées par le gouvernement » sont souvent mentionnées en Chine. Cinq organisations religieuses sont effectivement autorisées par le régime, bien que leur liberté soit limitée.
« Projets de construction non agréés » : c’est le faux prétexte sous lequel de nombreux temples bouddhistes sont démolis depuis février dans diverses provinces.
Le vénérable Xuecheng, abbé du temple de Longquan de Pékin, président de l’Association bouddhiste chinoise et farouche partisan du PCC, fait l’objet d’une enquête pour abus sexuels. Le PCC protège-t-il Xuecheng ou tente-t-il de se débarrasser de lui pour des motifs politiques ?
Des moines âgés de 15 ans et moins dans la région du Sichuan, où vit une importante population tibétaine, sont contraints de quitter leurs monastères et sont placés par les autorités chinoises dans des écoles administrées par le gouvernement, signale Radio Free Asia. Selon l’une de nos sources
Bitter Winter a reçu une copie d’une circulaire confidentielle intitulée « Suggestions visant à renforcer et à améliorer l’œuvre islamique dans des circonstances nouvelles », émise le 14 avril 2018 par le Bureau général du Comité central du Parti Communiste chinois et par le Bureau général du Conseil d’État de la République populaire de Chine.
Ces derniers mois, les autorités chinoises ont fermé de nombreux temples bouddhistes dans la ville de Gongyi, dans la province du Henan.
Fin mars 2018, le Bureau des affaires religieuses et le Département du Front uni ont fermé de force le temple Luohan de la ville de Jiajinkou, vieux de plus de mille ans
