Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Statues bouddhistes détruites, bouddhistes chassés, temples bouddhistes fermés ou rasés. En Chine, la guerre contre le bouddhisme continue de faire rage.
Les autorités du Hebei ont utilisé des explosifs pour détruire la statue de « Guanyin qui ruisselle » alors que le PCC continue de réprimer sans relâche les statues religieuses géantes.
Le PCC intensifie la répression contre les bouddhistes et les statues taoïstes en plein air en les supprimant ou en altérant leur apparence. Même les plus petits symboles religieux doivent disparaître.
Dans toute la Chine, les autorités détruisent des lieux de culte à des horaires étranges pour éviter les protestations des croyants à qui on ne laisse aucune chance d’exprimer leurs doléances.
La campagne nationale du PCC visant à éradiquer les statues des divinités bouddhistes devient incontrôlable et gagne toute la Chine. Les sites sacrés ne sont pas non plus épargnés.
Le parc de la forêt de Wanshan dans la province du Henan abritait autrefois 13 temples. Suite à de nombreuses inspections gouvernementales, ils ont tous été mis sous scellés et les fidèles ont été chassés.
En prévision des jeux, les autorités locales procèdent à une purge complète des églises de maison chrétiennes, des temples bouddhistes et d’autres lieux de culte sous prétexte de « maintien de la stabilité ».
Le PCC forme les moines à se faire l’écho de la propagande, et soumet les temples à des évaluations de gestion normalisées.
Considérées par le PCC comme ses ennemies les plus redoutables, les statues des divinités bouddhistes sont démolies à travers la Chine sous les ordres du gouvernement central.
Le PCC intensifie ses efforts d’éradication du bouddhisme indépendant. Les temples et statues sont détruits, et les moines sont « renvoyés chez eux » sous divers prétextes.
Dans tout le pays, le PCC « transforme » les temples en auditoriums culturels, bureaux gouvernementaux et centres d’activités pour personnes âgées. C’est l’un des subtils subterfuges que le PCC utilise pour persécuter les croyants.
Le gouvernement s’empare sans arrêt des lieux de culte bouddhistes et taoïstes. Les croyants sont dispersés et la religion est remplacée par des activités culturelles « rouges ».
Les gouvernements provinciaux et municipaux intensifient les purges contre les églises et les temples pour montrer à leurs supérieurs les progrès qu’ils ont réalisés en matière de répression de la religion.
Le gouvernement ordonne de changer l’apparence des temples, interdit les termes religieux et les cérémonies traditionnelles. Certains croyants finissent en garde à vue.
