Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
En Chine, le CCP certifie que plus de 1 000 citoyens munis d'une carte d'identité spéciale sont respectivement la réincarnation d'un certain lama bouddhiste. Pourquoi le PCC athée prétend avoir le droit de décider ?
Les dirigeants tibétains réunis à Dharamsala mettent en garde le monde que le PCC envisage de désigner une réincarnation factice de l’actuel dalaï-lama à sa mort.
Deux temples du Shanxi ont fait l’objet de mesures répressives : les autorités ont pris le contrôle total de l’un, tandis que l’autre a été réduit en ruines, et le lama arrêté au passage.
Afin d’arrêter la propagation du bouddhisme tibétain en Chine continentale, le PCC renforce son contrôle sur toutes les activités religieuses ou toute expression de la culture traditionnelle.
Un rapport du Bureau municipal des Affaires ethniques et religieuses décrit dans les détails les résultats obtenus consécutivement à la répression des croyants et présente de nouvelles mesures de répression encore plus rigoureuses.
Souvent bannie des écoles publiques, la langue tibétaine est enseignée dans les monastères. Le Parti communiste chinois (PCC) prétend que c’est interdit.
Les Tibétains pauvres perdent leurs terres, puis leurs allocations de subsistance à moins qu’ils ne cessent de pratiquer le bouddhisme. Les administrateurs de réseau les surveillent.
Il explique au Hindustan Times comment on décidera s’il y aura ou non un prochain dalaï-lama
Le gouvernement chinois poursuit sa campagne de répression contre le bouddhisme tibétain, non seulement à l’intérieur du Tibet, mais également dans les régions environnantes.
En mai 1959, la Chine a réprimé une manifestation à Lhassa en massacrant des milliers de civils, ainsi qu’en dissolvant le gouvernement tibétain et en faisant du Tibet une province chinoise, en violation des accords auxquels elle avait souscrit en 1951. C’était le début d’une politique en vertu de laquelle le PCC avait décidé d’ignorer le droit international et de répondre aux indignations du monde principalement en fabriquant des infox.
Les coups montés sont organisés par les autorités pour piéger une personne et donner d’elle une image suffisamment mauvaise pour justifier sa déportation.
Bitter Winter et son organisation mère, le CESNUR, se sont joints à plusieurs autres ONG pour signer une pétition lancée par la Victims of Communism Memorial Foundation, appelant à des sanctions contre les responsables du PCC auteurs d’atrocités dans le Xinjiang et le Tibet.
Dans le cadre de la récente répression de la religion, l’un des hauts responsables du PCC s’est rendu au Tibet et a exigé la loyauté absolue des moines
