Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Un ouvrage commis par le politologue américain Carsten Vala répond à la question de savoir pourquoi certaines églises de maison sont « tolérées » en Chine alors que d’autres font l’objet de persécutions.
Conformément à la nouvelle législation, plus de 150 lieux de rassemblement dans cette ville de la province du Hebei attendent l’approbation du gouvernement et ont cessé leurs activités.
Les autorités ont également arrêté sa prédicatrice et saisi des biens de l’église.
Les autorités de cette ville de la province du Guangdong ont fermé de nombreuses églises de maison dans le cadre d’une stratégie bien planifiée de persécution religieuse.
Les autorités utilisent des procédures de libération sous caution pour exploiter les fidèles et réaliser un profit financier.
Les fidèles ont été contraints soit de fermer complètement leurs lieux de rassemblement, soit de commencer à se réunir en petits groupes après une série de mesures répressives contre les églises de maison qui adhèrent à la tradition du couvre-chef.
Les autorités ont attaqué les lieux de réunion de plusieurs églises Sola Fide au début de cette année. Elles ont arrêté des fidèles et confisqué les biens des églises.
Arrêté en raison de sa foi en 1983, un membre d’une église Sola Fide est victime de persécutions depuis longtemps parce que considéré comme un « adepte d’un xie jiao ».
Deux responsables d’une église de maison originaires de Beijing ont été arrêtés en 2015. Un an plus tard, ils ont été condamnés à trois ans de prison avec une amande.
Dans plusieurs provinces telles que le Shandong, le Hunan, le Jilin et d’autres, des églises ont récemment été attaquées et fermées.
Au cours des quatre derniers mois, le gouvernement chinois a essayé à plusieurs reprises de fermer l’église.
La responsable d’une église arrêtée en mars dans la ville de Korla, province du Xinjiang, est toujours en détention à ce jour.
Une responsable d’une église de maison dans la province de l’Anhui a été jetée en prison au mépris de la procédure judiciaire.
