Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
La liberté religieuse a subi des violations terribles et systématiques en Chine. Rapports exclusifs et articles d’experts sur la persécution religieuse.
Une enquête sur la liberté religieuse sous le régime du PCC nous amène à la conclusion qu’il n’existe pas de liberté religieuse en Chine communiste, bien que les efforts du régime pour éradiquer la religion aient traversé différentes étapes et utilisé différentes stratégies.
Dans le but de contrôler l’esprit des jeunes du pays, le PCC travaille à infiltrer les universités.
Le gouvernement harcèle les patients, confisque les bibles et menace de fermer les maisons de retraite, voire de jeter les personnes âgées et les malades à la rue.
Le gouvernement chinois s’en prend aux écoles primaires et secondaires : il leur demande d’enseigner aux élèves que l’athéisme, et non la religion, est le meilleur système de croyances.
Des églises de la ville de Jiaozuo dans la province du Henan ont été transformées en écoles, en centres culturels et en pôle d’activités du Parti communiste.
Rappelant la révolution culturelle, la Chine mobilise des espions citoyens, des miliciens pour « maintenir l’ordre public » et réprimer la religion.
En Chine, les patients sont obligés de faire enregistrer leur statut religieux lorsqu’ils sollicitent des soins médicaux et de subir une litanie de questions sur leur vie privée.
La technique de la révolution culturelle des années 1960 dresse les masses contre les masses, frère contre frère, foi contre foi, pour contrôler la religion.
La campagne dite des « quatre exigences » impose aux structures religieuses en Chine de pratiquer des rites nationalistes et de prêcher la morale socialiste, le tout sous le regard vigilant des inspecteurs d’État.
Depuis le lancement d’un programme national de supervision pour inspecter la mise en œuvre des politiques religieuses de Xi Jinping dans les provinces et municipalités chinoises, les croyants de tout le pays sont confrontés à une répression encore plus intense de leurs libertés religieuses.
Les autorités locales de différentes régions de Chine organisent des manifestations « alternatives » à proximité de lieux de culte dans le but de dissuader la population de prendre part à des activités religieuses.
Le gouvernement chinois maintient déjà un contrôle ferme sur l’utilisation d’Internet par les citoyens. Des mots et des expressions comme « Alléluia », « Amen », « Remercions Dieu » et « Jésus » sont maintenant encore plus sensibles qu’ils ne l’étaient déjà pour se connecter à un moteur de recherche.
Depuis septembre, le Département du travail du Front uni (DTFU) a lancé son tout premier programme national de supervision initié par le Comité central du Parti communiste chinois visant à contrôler la mise en œuvre des politiques religieuses dans les provinces et les municipalités du pays.
