Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Des statues et des portraits de dirigeants chinois d’hier et d’aujourd’hui continuent d’être disposés dans les lieux de culte dans le but d’en faire les seuls « dieux ».
Alors que les sculptures et autres symboles religieux sont détruits partout dans le pays, les statues du président Mao trônent fièrement et n’attendent que d’être adorées.
Le « site d’éducation rouge » désigné par le PCC pour vénérer les dirigeants communistes a été rasé le lendemain de l’annonce de la nouvelle afin de se débarrasser de cette bizarrerie et d’éviter l’humiliation.
La campagne du PCC visant à « exterminer Bouddha » a atteint un niveau d’absurdité inédit : un temple dans la province du Henan a remplacé les divinités bouddhistes par des dirigeants révolutionnaires.
L’année dernière, pour Noël, la devise du gouvernement chinois était simple : oubliez le Christ, célébrez Mao Zedong.
Les autorités du Henan obligent maintenant les croyants à remplacer les portraits de Jésus par ceux des dirigeants chinois chez eux.
Alors que d’innombrables temples bouddhistes sont détruits à travers la Chine, les statues de divinités sont remplacées par celles de Mao Zedong dans les lieux de prière restants.
Récemment, Bitter Winter a appris que depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle Réglementation relative aux Affaires religieuses en février 2018, des fonctionnaires d’un village de
