Un magazine sur la liberté religieuse et les droits humains en Chine
Sous prétexte de « déradicalisation », le PCC a étendu son contrôle sur la population du Xinjiang à tous les aspects de la vie quotidienne.
Le retour chez soi est généralement un évènement heureux. Cependant, pour les Ouïghours qui travaillent hors du Xinjiang, toute visite effectuée dans la région natale peut aboutir à la détention dans un camp d’internement.
« Contrôler la jeunesse du Xinjiang, c’est contrôler l’avenir de la région » semble être le slogan de la campagne menée par le PCC pour éduquer les enfants musulmans dans un environnement han.
Le PCC amène sept millions de touristes dans le « Far West » de la Chine, où les habitants sont contraints de danser, de chanter et de faire semblant d’être heureux pour faire plaisir aux visiteurs chinois han.
Arrêtée en raison de sa foi, Ren Cuifang, âgée de 30 ans, est décédée à son 12e jour de détention. À la vue de son corps recouvert d’hématomes, la famille pense qu’elle est décédée des suites de torture.
L’ancien président de l’université du Xinjiang, Tashpolat Tiyip, risque la mise à mort, en raison de l’intensification par les autorités chinoises de la croisade dénommée « étudier, purger, résister » menée contre la dissidence.
Si le Uyghur Human Rights Policy Act est adopté par la Chambre des représentants des États-Unis, ce sera la première loi de ce type dans le monde à condamner la Chine pour ses crimes.
Une professionnelle accomplie a disparu dans l’un des camps détention rebaptisés « écoles professionnelles » par le PCC. Un nouveau site Internet a été créé pour contribuer à sa libération.
Témoignages de quatre enseignants qui assistent au quotidien à la destruction par le PCC de la culture et de la langue ouïghoures, en faisant subir au passage une torture psychologique aux jeunes ouïghours.
Dans une lettre adressée à la Banque mondiale, la Commission exécutive du Congrès pour la Chine soulève la question et exprime ses préoccupations. Le magazine Foreign Policy affirme que ce n’est pas la première fois.
Alors que la communauté internationale condamne les camps de rééducation, la Chine falsifie les informations sur le sujet pour masquer la réalité en multipliant les efforts de propagande.
L’émirat arabe est le premier pays à admettre qu’il a eu honte d’avoir signé la fameuse lettre soutenant la persécution des Ouïghours par la Chine.
Pékin a publié un document affirmant que les camps de transformation par l’éducation au Xinjiang ne sont rien de plus que de superbes écoles. Personne ne doit se laisser duper par ce tissu de mensonges.
